Clarke-Wright 1909
| DONNÉES GÉNÉRALES |
| Année du premier vol (ou de design, si seul projet) |
1909 |
| Pays | Angleterre |
| Designer(s) | WRIGHT & CLARKE, Thomas W. K. |
| Premier constructeur | CLARKE, Thomas W. K. |
| Type d'appareil | Planeur Biplan Canard |
| Fonction | Initiation |
| SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES |
| Envergure | 9.95 m |
| Longueur | 5.44 m |
| Hauteur | -- |
| Allongement | 6.5 |
| Surface alaire | 29.54 m2 |
| Profil aile | -- |
| Masse à vide | -- |
| Masse maxi | -- |
| Charge alaire | -- |
| Vitesse mini | -- |
| Vitesse maxi | -- |
| Finesse maxi | |
| Taux de chute mini | -- |
| Nb sièges | 1 |
| Structure | Bois et toile |
AUTRES INFORMATIONS
| Constructeur(s) |
| ||||||
| Infos techniques | -- | ||||||
| Histoire résumée | [Traduction libre Flight International 18/25 septembre 1909] Le planeur Wright construit par Clarke Le vol à voile est un aspect du vol qui est un peu susceptible d’être négligé dans la course actuelle pour atteindre l’art supérieur ; mais il y a quand même un côté utile, et le moment est particulièrement propice pour apprendre la maîtrise du pilotage sans moteur étant donné qu'il y a pour l'instant quelques difficultés à s'approvisionner en moteurs dans ce pays. D’autres expérimentateurs ont, il est vrai, montré que la méthode utilisée par les frères Wright n’est pas nécessaire dans tous les cas; mais, malgré tout, nous sommes certains que le vol à voile peut apporter beaucoup d'enseignement, même à l’homme volant, et quoi qu’il en soit, il nous semble que MM. Alec Ogilvie et Searight ont fait le bon choix en construisant leur planeur en plus du flyer Wright qu’ils ont commandé. Au moins, il peut être le moyen de sauver le flyer de quelques dommages inutiles pendant les premiers stades de l’apprentissage du pilotage. Le planeur que MM. Ogilvie et Searight ont fait construire pour eux est à toutes fins pratiques une copie de la machine utilisée par les Wrights en 1902, et le travail a été admirablement exécuté par M. T. W. K. Clarke and Co., de Kingston. Il s'agit bien sûr un biplan, et a un stabilisateur à l’avant avec une dérive verticale derrière. Le stabilisateur est construit selon la conception montrée dans le dernier brevet Wright - que connaissent nos lecteurs - ayant des plans de flexion au lieu de simples plans pivotés. La queue à l’arrière se compose d’un seul plan vertical, qui est conforme avec le planeur Wright, mais diffère du flyer Wright qui a un double gouvernail. D’autre part, les plans principaux sont à double dérive sur la machine que MM. Clarke ont construite, tandis que les planeurs utilisés par les frères Wright étaient, nous croyons, invariablement à surface unique. Le travail que M. Clarke a réalisé pour la construction du planeur est admirable, et confirme pleinement la réputation du travail de qualité britannique. Certaines personnes sont plutôt enclines à penser qu’une machine qui va être cassée ne mérite pas qu'on consacre beaucoup de temps à sa construction, mais pour notre part nous mettons en avant les deux points qu’elle a en sa faveur, le premier étant que plus une machine est performante, moins elle est susceptible d'avoir des problèmes, et le second étant que lorsqu’il est cassé, un objet bien fait est toujours réparé plus facilement et de façon plus satisfaisante qu’un objet qui n’est qu’une demi-épave au départ. En outre, il faut toujours considérer les risques liés au vol que l'on peut diminuer par l’utilisation d’une machine de construction décente, et même si un planeur bien fait coûtera probablement plus cher qu'un planeur auquel on a consacré moins de soin, il n’y a aucune raison que le vieil adage ne s'applique pas, "le bon marché est toujours plus cher à long terme." Bois et toile Le matériau à partir duquel M. Clarke a construit le planeur est pour la plupart de l'épicéa argenté, un bois qu'ils sont, selon ce que nous comprenons, en mesure de se procurer en longueur de 20 pieds sans défaut. À un ou deux endroits où des boiseries cintrées sont requises - comme, par exemple, le prolongement des patins qui portent l'élévateur, et les extrémités des plans principaux – l’orme d’Amérique est utilisé. Les plans sont recouverts sur les deux faces avec un tissu spécial de fabrication britannique, fourni par MM. T. W. K. Clarke; il a un poids de 36 pieds carré à la livre, et l'imperméabilisation se fait par un traitement celluloïd. Les coutures du revêtement complet sont en diagonale, et chaque moitié d’un plan, d’une extrémité au centre, est pratiquement enfermée dans une sorte de sac en tissules bords des sacs adjacents sont lacés ensemble au centre, tandis qu'à intervalles réguliers le tissu est fixé aux nervures de support. Afin d'éviter que le tissu ne se déchire, une fine bande de bois est placée entre le tissu et la tête des clous. Plans principaux L'ossature sur laquelle les surfaces sont tendues consiste, pour chaque plan, en une paire de longerons transversaux ayant une section de 1 pouce par 1 1/2 pouce. Les extrémités de ces longerons d'épicéa sont réunies par une pièce d'orme courbée, un joint de sécurité étant fait entre les deux poutres. ... (traduction en cours) | ||||||
| Liens personnalités | Pas de personnalité associée. | ||||||
| Compléments docs |
SOURCES DOCUMENTAIRES
| Liens WEB | Site : Wright Brothers Aeroplane Company . The 1909 Wright Glider. (2009-10-26 JM) Site : Flight Archive . Photos + plan 3 vues + articles. (2010-08-28 CL) |
| Livres | Pas de livre référencé. |
| Autres sources | British gliders before 1922, par Francis Humblet, VGC News n° 126 (printemps 2009). Mention. Flight, 18 septembre 1909. Description très détaillés, 2 photos, plan 3 vues, croquis... Flight, 25 septembre 1909. Description très détaillés, 7 photos, croquis... The Aero, 5 octobre 1909. 4 photos |
MODÈLES RÉDUITS
| Pas de plan ou kit référencé. |
Fiche n° 2049 [Dernière mise à jour : 2022-05-03]
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