DONNÉES GÉNÉRALES |
Année du premier vol (ou de design, si seul projet) |
1937 |
Pays | France |
Designer(s) | DUBS, Pierre |
Premier constructeur | -- |
Type d'appareil | Planeur |
Fonction | Expérimental |
SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES |
Envergure | -- |
Longueur | -- |
Hauteur | -- |
Allongement | -- |
Surface alaire | -- |
Profil aile | -- |
Masse à vide | -- |
Masse maxi | -- |
Charge alaire | -- |
Vitesse mini | -- |
Vitesse maxi | -- |
Finesse maxi | |
Taux de chute mini | -- |
Nb sièges | 1 |
Structure | -- |
Constructeur(s) |
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Infos techniques | -- | ||
Histoire résumée | [Article paru dans Les Ailes N° 863 du 30.12.1937] Pierre Dubs propose un planeur à double gouverne de profondeur Cette disposition très simple doit permettre d’utiliser pratiquement les très faibles ascendances Au cours de nombreux vols de durées sur planeur 40 p-Avia, dont un de plus 5 heures, j’ai eu l’occasion de faire quelques remarques. Ainsi, en volant, on trouve des ascendances ou plutôt des énergies inutilisables avec le planeur actuel ; par exemple, sur une ascendance de crête, le variomètre indique une montée de 2, 3 ou 4 mètres/seconde, le badin alors fréquemment 70 km.-h, donc un excès de vitesse par rapport au vol normal qui, lui, est de 45-50 km. Si on tire sur le manche, le planeur se met d’autant plus vite en perte de vitesse que le vent est plus fort et a de prise sur lui par suite du cabré. Donc, le planeur actuel n’utilise qu’une ascendance purement verticale ou peu oblique. Pour pouvoir utiliser les énergies se rapprochant de l’horizontale, voilà comment je vois la chose. Un planeur analogue aux appareils actuels mais très fin, volant à 75 km.-h. par exemple à sa finesse maximum, donc ayant un excédent de vitesse de l’ordre de 20 km. ; aile normale ; le fuselage porterait à l’avant et à l’arrière un empennage horizontal mobile, dans le genre de celui des premiers avions ; ces gouvernes seraient conjuguées symétriquement ; le planeur monterait « à plat » et ne pourrait se mettre ni en piqué, ni en cabré. En vol normal, ce planeur volerait à la finesse optimum ; une rafale arrive, le pilote cabre ses deux profondeurs, le planeur ralentit sensiblement et prend sa vitesse minimum en transformant l’excès de vitesse en montée verticale, sans pouvoir cabrer ni descendre au-dessous de la vitesse limite, les deux surfaces de profondeur n’étant pas suffisantes pour freiner l’appareil au-delà de la vitesse de sustentation donnée par l’incidence de l’aile. De plus, ce planeur pourrait être doté de girouettes Constantin, réalisant l’aile vivante très simplement, par une action directe sur les gouvernes de cet appareil, ce qui soulagerait le pilote, qui en planeur, vole toujours dans des zones très agitées. Le vol spiralé ne serait possible, sur cet appareil, que si l’on avait la possibilité de débrayer l’une ou l’autre des gouvernes de profondeur. En effet, dans la position inclinée, ces deux surfaces ayant un effet contraire s’annuleraient. Pierre DUBS, Moniteur breveté du vol à voile à Nancy-Malzéville. | ||
Liens personnalités | Pas de personnalité associée. | ||
Remarques | Concept apparemment jamais réalisé |
Liens WEB | Pas de site référencé. |
Livres | Pas de livre référencé. |
Autres sources | Les Ailes N° 863, 30.12.1937, 3-vues + texte |
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